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Tragique destin pour les ennemis d'Israël

Updated: 3 days ago

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«Malheur à ceux qui appellent le mal bien et le bien mal, qui changent les ténèbres en lumière et la lumière en ténèbres!» (Es 5:20)


Nous publions ici quelques extraits des «Nouvelles d'Israël» du mois de décembre 2025, écrits respectivement par Ariel Winkler, Stephan Beitze, ainsi que de l'hebdomadaire français «Le Point», du 8 avril 2012 et le destin poignant du Président vénézuélien Hugo Chavez.

À l’époque des réseaux sociaux, la haine se propage à une vitesse incroyable. De nombreuses personnes ne se donnent plus la peine de faire des recherches, mais se contentent de répéter les contenus antisémites qu’elles découvrent en ligne sans rien remettre en question. Ainsi, l’antisémitisme est redevenu pour certains jeunes «acceptable» et «cool»; néanmoins, cela témoigne d’une certaine bêtise, car il est plutôt l’expression de l’ignorance et de la pression de groupes que de véritables convictions. Le lien entre la bêtise et l’antisémitisme constitue un danger

sérieux comme Dietrich Bonhoeffer l’a déjà écrit:

«La bêtise est un ennemi du bien plus dangereux que la méchanceté. [...] Nous sommes sans défense devant la bêtise. On ne peut rien obtenir par des protestations ou par la force; on ne peut pas convaincre par la raison; les faits qui réfutent les préjugés ne sont tout simplement pas pris au sérieux...»

En conséquence, notre appel en tant que croyants est particulièrement important: nous ne devons pas rester indifférents. La Parole de Dieu nous enseigne qu’Israël est le peuple élu (Dt 7:6-7) et en raison de l’antisémitisme qui augmente, nous devons nous tenir fermement à ses côtés. (...) Notre mission est de faire briller la lumière le plus clairement possible quand les ténèbres s’intensifient. ∎


Je bénirai ceux qui te béniront, et je maudirai ceux qui te maudiront; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi. (Genèse 12:3)


Le 2 juin 2010, le président vénézuélien Hugo Chavez prononça les malheureuses paroles suivantes:

«Je profite de l’occasion pour condamner encore une fois l’État d’Israël de toute mon âme et de toutes mes entrailles. Que tu sois maudit, État d’Israël! Que vous soyez maudits...»

Un an plus tard, on lui diagnostiquait, justement, une maladie d'entrailles, le cancer du gros intestin, qui l'a emporté le 5 mars 2013.

L'hebdomadaire Le Point du 8 avril 2012 publiait notamment ce qui suit:

"La prière faite cette semaine par le président vénézuélien Hugo Chavez, qui a demandé à Dieu de l'épargner devant les caméras de télévision, a relancé rumeurs et débats sur son cancer, dont il a été opéré deux fois, à six mois d'une présidentielle pour laquelle il est favori.

Jeudi, au lendemain de son retour de Cuba, où il avait subi une nouvelle série de séances de radiothérapie, le chef de file de la gauche radicale latino-américaine a demandé à Dieu, la gorge serrée, de le maintenir en vie lors d'une messe dans son Etat natal de Barinas.

«Laisse-moi en vie car il me reste des choses à faire pour ce peuple et pour cette patrie, ne me prends pas encore!», avait-il notamment exhorté, les larmes aux yeux, lors de cette prière retransmise par la télévision publique.

De l'avis des observateurs, le chef de l'Etat a véritablement cédé à l'émotion, lorsque son discours s'est brusquement transformé en prière et la plupart d'entre eux écartent la possibilité d'un évènement calculé, tant le trouble de M. Chavez paraissait sincère.

Cette invocation signifie que «d'une certaine manière, il a levé le voile du silence et de la discrétion qu'il avait jeté sur son cancer détecté l'an dernier»,, explique à l'AFP l'analyste politique Carmen Beatriz Fernandez.

Selon celle-ci, M. Chavez «a clarifié la fatalité de sa maladie».

A 57 ans, Chavez s'en remet à «un miracle», ce qui signifie qu'«il y a une reconnaissance indirecte de la gravité de son cancer», abondait samedi dans la presse le politologie Ricardo Sucre, de l'Université centrale du Venezuela.

Le Président vénézuélien avait été opéré le 26 février dernier à la Havane d'une seconde tumeur cancéreuse dans la même zone pelvienne que celle qui lui avait été retirée en juin 2011, déjà à Cuba.

Les autorités vénézuéliennes n'ont jamais précisé la nature de ce cancer et ont toujours nié qu'il se soit propagé.

Dans sa prière de Barinas, le président Chavez a demandé à Dieu d'une voix tremblante qu'il l'aide à vivre, même si c'est une «vie douloureuse».

«Donne-moi ta couronne, Jésus, donne-la moi, que je saigne. Donne-moi ta croix, cent croix, que je les porte», a-t-il notamment imploré.

Pour Carlos Raul Hernandez, sociologue et politologue de l'Université du Venezuela,

Hugo Chavez s'est livré à «une sorte de délire mystique» symptomatique d'«un état de désespoir émotionnel».

Selon lui, cette supplique «touchante» laisse entrevoir pour la première fois «la possibilité d'une sortie (de Chavez) de la scène politique».

Au pouvoir depuis 1999, M. Chavez brigue un nouveau mandat de six ans lors de la présidentielle du 7 octobre, où il affrontera le candidat de l'opposition, Henrique Capriles Radonski, gouverneur du riche Etat de Miranda.

(...) Au cours de ses 13 années déjà passées à la tête du pays, l'ancien militaire a exercé le pouvoir de façon «si charismatique et personnelle» que sa Révolution bolivarienne pourrait ne pas survivre à son départ, estime Mme Fernandez.

M. Chavez est retourné dimanche à la Havane pour y subir une troisième série de séances de radiothérapie". ∎

Oui, tout homme debout n'est qu'un souffle (Psaume 39:5)

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